Mercedes-Benz 600 Pullman Limousine 1965
La Mercedes-Benz 600, souvent appelée Grosser Mercedes, incarne le fleuron ultime de la marque à l’étoile dans les années 1960 et 1970. Présentée pour la première fois en 1963 lors du Salon de l’automobile de Francfort, la “600” se positionne au sommet de la gamme, surpassant en standing et en sophistication toutes les autres berlines produites jusqu’alors par Mercedes. Pensée pour rivaliser avec les Rolls-Royce, Bentley et autres voitures de prestige, elle adopte une série d’innovations mécaniques et électriques, faisant d’elle un véritable concentré de technologie pour l’époque. Parmi ses différentes variantes, la Pullman Limousine est de loin la plus imposante et la plus fastueuse, offrant un empattement allongé et un habitacle digne d’un salon roulant.
En 1965, la 600 Pullman Limousine rencontre un succès particulier auprès des chefs d’État, des monarques, des artistes renommés et des fortunes du monde entier. De Fidel Castro à la reine d’Angleterre, en passant par de grands leaders africains et des célébrités du cinéma, nombre de personnalités optent pour ce modèle quand il s’agit de démontrer leur rang et leur influence. Bien plus qu’une simple berline de luxe, la 600 est un symbole d’autorité et de réussite, une icône statutaire dont le design charismatique – calandre imposante, phares doubles, carrosserie monumentale – ne passe pas inaperçu sur la route. Son poids conséquent (jusqu’à 3 tonnes pour certaines configurations) n’empêche pas un comportement routier maîtrisé, grâce à un châssis étudié, une suspension pneumatique et un V8 vigoureux.
Sous le capot, on retrouve un *V8 M100* de 6,3 litres, délivrant autour de 250 chevaux, faisant de la 600 une voiture étonnamment performante malgré sa taille. La transmission automatique, la direction assistée, les freins à disque et la suspension hydraulique participent à l’élégance de la conduite, tandis que l’habitacle regorge de raffinements inédits pour l’époque : sièges à réglage hydraulique, vitres et portes commandées hydrauliquement, climatisation perfectionnée (selon la demande du client), et cloisons de séparation ou sièges supplémentaires dans la version Pullman. Chaque exemplaire est pratiquement construit sur mesure, si bien que la production globale demeure relativement confidentielle, renforçant le caractère exclusif de l’auto.
En 1965, la 600 Pullman Limousine s’affirme comme la version la plus longue et la plus cossue de cette famille. Avec ses quatre ou six portes, son intérieur modulable (sièges arrière face à la route, strapontins possibles), elle est taillée pour transporter dans un confort princier des délégations officielles, avec un protocole digne d’un palais. Témoin d’une époque où l’automobile se vivait comme un véritable spectacle, la 600 Pullman ne se contente pas de proposer un habitacle luxueux : elle embarque aussi l’hydraulique pour les moindres détails (portières, fermeture de coffre, toits ouvrants éventuels), rendant l’expérience à bord inédite. Au-delà de son usage politique ou diplomatique, elle se fera connaître comme la “voiture des dictateurs” ou de l’élite du showbiz, alimentant sa légende de “Grosser Mercedes” sans équivalent. Les pages suivantes détaillent son histoire, sa mécanique, son design et son influence durable dans l’histoire de Mercedes-Benz.
Un Contexte de Renaissance du Luxe chez Mercedes
Au début des années 1960, Mercedes-Benz capitalise sur sa notoriété grandissante : la marque a gagné des lettres de noblesse au sortir de la guerre, relancé sa production de berlines intermédiaires (Ponton, Heckflosse) et conquis un public plus large, surtout en Europe. Toutefois, pour concurrencer les plus grands noms du prestige mondial (Rolls-Royce, Bentley, Cadillac, etc.), Mercedes décide de lancer un modèle résolument au-dessus du lot. C’est l’objectif du projet “W100”, qui débouche sur la 600, dévoilée en 1963.
La première version commercialisée est la berline standard à empattement court (SWB), déjà très luxueuse. Puis, pour satisfaire les exigences protocolaires, Mercedes conçoit la Pullman Limousine, dotée d’un empattement allongé d’environ 70 cm, autorisant l’aménagement d’un espace arrière beaucoup plus vaste. En 1965, cette version se popularise dans les cercles diplomatiques et politiques, où l’image de marque de Mercedes incarne le sérieux et la solidité. L’injection électronique Bosch, l’hydraulique pour les accessoires (portes, sièges, vitres), la suspension pneumatique ajustable, la climatisation double zone, tout cela forme un ensemble inédit.
La 600 Pullman, plus longue de plus de 6 mètres, propose parfois 6 portes (Landaulet), ou 4 portes avec une cloison de séparation. Les chefs d’État l’adoptent rapidement, que ce soit en RFA, dans les pays d’Afrique nouvellement indépendants, ou dans quelques régimes autoritaires cherchant un véhicule de parade imposant. Le moelleux légendaire de la suspension, la boîte automatique à 4 rapports adoucie, et la disponibilité du couple du V8 concourent à faire de chaque trajet un moment de confort absolu. Les passagers arrière profitent de fauteuils individuels, parfois inclinables hydrauliquement, de tables escamotables, d’installations audio, etc. Cette combinaison avant-gardiste et la rareté intrinsèque de la production suscitent l’admiration, tant auprès des amateurs d’automobile que du grand public.
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Une Silhouette Majestueuse et un Habitacle digne d’un Palais
La 600 Pullman Limousine, en 1965, frappe d’emblée par ses proportions : longueur dépassant les 6,24 mètres (voire plus sur certaines variantes), large calandre verticale chromée où trône fièrement l’étoile, double phares ronds sur chaque côté, ailes massives et arrondies. Le capot, légèrement bombé, abrite le V8 M100. Les flancs de carrosserie, lisses et imposants, se poursuivent jusqu’à un coffre volumineux, participant à la ligne étirée du véhicule. Les pare-chocs avant et arrière, recouverts de chrome, soulignent le prestige et protègent l’auto dans un contexte urbain.
À l’intérieur, le spectacle est à la hauteur de l’extérieur. La version Pullman se décline en plusieurs configurations : la plus classique comprend deux rangées de sièges (deux fauteuils avant, deux fauteuils arrière) avec un espace abondant pour étendre les jambes. D’autres configurations incluent deux strapontins rabattables face aux sièges arrière, permettant de transporter jusqu’à sept personnes sans se serrer. Les matériaux (cuir, boiseries en noyer, moquette épaisse) se combinent à un tableau de bord sobre mais raffiné, équipé de compteurs analogiques. Le vrai bijou réside dans l’hydraulique : les vitres, les sièges, la fermeture des portes, voire le couvercle de coffre, tout est actionné silencieusement par un circuit hydraulique sous pression, libéré via des boutons ou manettes.
Les passagers arrière jouissent d’une atmosphère feutrée : rideaux latéraux, éclairage tamisé, climatisation dédiée, parfois un minibar intégré. La sonorité du V8 reste discrète grâce à une insonorisation poussée, car la priorité est la sérénité pour ceux qui voyagent à bord. Le design dans son ensemble, austère et monumental, fait dire à certains qu’il s’agit d’une “Grosser Mercedes” dans la lignée des 770 d’avant-guerre. En 1965, c’est sans doute la limousine la plus sophistiquée du marché, un symbole de la puissance industrielle allemande et du renouveau de la marque sur la scène diplomatique internationale.
V8 M100 de 6,3 L : Le Cœur Battant de la 600
Le moteur de la 600, codé M100, est un V8 à 90° de 6,3 litres de cylindrée, alimenté par une injection mécanique Bosch. Il développe environ 250 chevaux (selon les mesures DIN) et un couple généreux, autour de 500 N.m, permettant de mouvoir l’imposant châssis de la Pullman Limousine sans trop d’effort. La vitesse maximale peut s’approcher de 200 km/h, un chiffre impressionnant compte tenu de la masse dépassant largement les 2,5 tonnes, et parfois plus de 3 tonnes selon l’équipement. Les reprises restent dignes d’une berline de luxe, grâce à la boîte automatique à 4 rapports, étudiée pour gérer en douceur la charge moteur.
Un système d’injection mécanique Bosch assure la pulvérisation du carburant dans chaque cylindre, garantissant une combustion efficace. L’allumage électronique n’existe pas encore, on recourt à un allumage par distributeur et bobine haut de gamme, mais la fiabilité du bloc s’avère solide à condition d’un entretien suivi. Les performances en côte ou pour dépasser sur autoroute font oublier le gabarit énorme de la voiture, le V8 tenant la charge sans broncher. La direction assistée compense la direction lourde qu’on attendrait d’une telle auto, tandis que les freins à disque aux quatre roues (intégrés dans des roues robustes) assurent un freinage rassurant.
Cette mécanique confère un agrément exceptionnel, en particulier pour la clientèle habituée à circuler sur autoroute ou devant voyager dans diverses contrées. Dans la 600 Pullman, un chauffeur professionnel s’occupe généralement de la conduite : le confort des passagers prime, mais le conducteur apprécie aussi la souplesse et le couple du V8, permettant de maintenir un rythme élevé sans forcer le bloc. De plus, la suspension pneumatique, à gestion auto-nivelante, absorbe les irrégularités de la route et maintient la caisse stable, garantissant un maintien horizontal presque impérial, même avec plusieurs passagers à bord.
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Voiture d’État, de Dictateurs et de Stars Internationales
Dès son lancement, la Mercedes-Benz 600 ambitionne de conquérir le marché diplomatique et les hauts dignitaires. En 1965, la *Pullman Limousine* devient rapidement la préférée de nombreux chefs d’État africains ou asiatiques, d’officiels soviétiques ou est-européens, voire de dirigeants américains en quête d’exotisme. De Fidel Castro à Kim Il-sung, d’Enver Hoxha à Tito, la 600 Pullman sert souvent de symbole de pouvoir absolu, transportant les leaders dans un confort inouï. Elle gagne alors le surnom de “voiture des dictateurs”, tant il est commun de la voir dans des défilés officiels ou sur les photos de rencontres diplomatiques.
Mais la 600 Pullman n’attire pas que le monde politique : maintes célébrités du cinéma, du show-business et du rock la plébiscitent, séduites par son statut et son raffinement. John Lennon, Elizabeth Taylor, ou Hugh Hefner figurent parmi ceux ayant possédé une 600 (SWB ou Pullman), contribuant à la légende glamour du modèle. Les médias relatent volontiers des extravagances, comme une cloison vitrée abritant un bar à champagne, des téléphones embarqués (avant l’heure), ou des dispositifs spéciaux commandés hydrauliquement.
Aujourd’hui, ces anecdotes forgent le mythe : la 600 Pullman Limousine apparaît souvent dans les films évoquant la Guerre froide, la diplomatie secrète ou la haute société. Son image oscille entre celle d’un carrosse impérial et celle d’un véhicule souvent lié à des régimes autoritaires ou à une opulence assumée. Quoi qu’on en dise, elle demeure l’une des voitures les plus marquantes de l’histoire Mercedes, ayant influencé la gamme Classe S ultérieure, et le concept de limousine d’État. Quant aux exemplaires encore existants, ils rejoignent souvent des collections privées ou des musées prestigieux, restaurés avec soin et parfois utilisés lors de cérémonies officielles ou de mariages luxueux.
20 Questions Fréquemment Posées sur la Mercedes-Benz 600 Pullman Limousine (1965)
Voici 20 interrogations courantes entourant la 600 Pullman Limousine de 1965, reflétant l’intérêt des passionnés comme des curieux pour cette berline de légende.
| Question | Réponse |
|---|---|
| 1. Quand la Mercedes-Benz 600 a-t-elle été lancée ? | En 1963, présentée au Salon de Francfort. La version Pullman apparaît simultanément, produite jusqu’en 1981. |
| 2. Quelle différence entre la SWB et la Pullman ? | La Pullman (LWB) a un empattement allongé (~70 cm de plus), offrant un espace arrière nettement agrandi, souvent 4 ou 6 portes. |
| 3. Quel moteur anime la 600 ? | Le V8 M100 de 6,3 L, environ 250 ch DIN, injection mécanique Bosch, couple ~500 N.m. |
| 4. Quel est le poids approximatif ? | Jusqu’à 2,6-3,0 tonnes selon la configuration et l’équipement (Pullman, blindage éventuel, etc.). |
| 5. Qu’est-ce qui rend la 600 si particulière ? | Son système hydraulique pour les portes, vitres, sièges, etc., sa suspension pneumatique, et son statut de voiture d’État ou de luxe absolu. |
| 6. Quelle vitesse maxi ? | Environ 200 km/h, malgré la masse importante, grâce à la puissance du V8 et son couple généreux. |
| 7. La boîte de vitesses est manuelle ou automatique ? | Une boîte automatique à 4 rapports, conçue pour soulager le chauffeur et encaisser le couple. |
| 8. En quoi consiste la suspension pneumatique ? | Chaque roue est reliée à un boudin pneumatique, associé à un compresseur et un correcteur d’assiette, assurant un moelleux constant et un nivelage automatique. |
| 9. Quel type de direction équipe la Pullman ? | Direction assistée (hydraulique), absolument nécessaire pour manœuvrer une telle voiture. |
| 10. Quelle est la consommation moyenne ? | Très élevée, pouvant avoisiner 20-25 L/100 km, voire plus en usage urbain ou rythmé. Mais la clientèle visée s’en soucie peu. |
| 11. Quelles personnalités l’ont utilisée ? | Fidel Castro, le Shah d’Iran, la reine Elizabeth II, Tito, et de nombreuses stars comme John Lennon, Elizabeth Taylor, etc. |
| 12. Pourquoi l’appelle-t-on la "voiture des dictateurs" ? | Parce qu’elle fut adoptée par plusieurs régimes autoritaires (dictateurs) cherchant un symbole de puissance, tout comme par divers chefs d’États plus démocratiques. |
| 13. Y a-t-il différentes configurations d’habitacle ? | Oui, 4 ou 6 portes, cloison de séparation, strapontins, etc. Les clients pouvaient commander l’agencement souhaité (Landaulet, Pullman 4/6 portes, etc.). |
| 14. Jusqu’à quand la 600 a-t-elle été produite ? | La fabrication s’étale de 1963 à 1981, en petites séries. Les exemplaires Pullman sont rares et distribués jusqu’au début des années 1980. |
| 15. Combien d’exemplaires au total ? | Environ 2 677 exemplaires (toutes versions confondues), dont 428 Pullman et 59 Landaulet, reflétant la rareté de cette gamme. |
| 16. Quelles innovations notables ? | Le système hydraulique (portes, sièges, coffres), la suspension pneumatique, la boîte auto sophistiquée, l’injection mécanique de pointe pour le V8. |
| 17. Comment se positionne-t-elle par rapport à la Classe S ? | La 600 est un modèle indépendant, encore plus exclusif et grandiose que les “SE/SEL” de l’époque (W108/W109). C’est la "Grosser Mercedes" en soi. |
| 18. Quel est le ressenti de conduite pour le chauffeur ? | Un vrai tapis volant : direction assistée, suspension pneumatique, V8 coupleux. Mais la taille impose de la vigilance. Le freinage reste costaud (disques aux 4 roues). |
| 19. Existe-t-il des exemplaires blindés ? | Oui, certaines commandes spéciales, surtout pour chefs d’États. Le poids peut alors grimper à plus de 4 tonnes. |
| 20. Quelle est sa cote aujourd’hui ? | Les 600 Pullman en bon état se négocient facilement au-delà de 300 000-400 000 euros, voire plus pour des exemplaires historiques ou rares. Les Landaulet atteignent parfois plusieurs millions. |
Tableau Récapitulatif : Mercedes-Benz 600 Pullman Limousine 1965
Un tableau (responsive, bordure 1px) ci-après synthétise les points clés de cette grande limousine emblématique.
| Modèle | Période | Moteur | Cylindrée | Puissance | Transmission | Vitesse Max |
|---|---|---|---|---|---|---|
| 600 Pullman Limousine (W100) | 1963-1981 (1965 = mil. de carrière) |
V8 M100 | 6,3 L (6300 cm³) | ~250 ch DIN | Automatique 4 rapports | ~200 km/h |
L’empattement Pullman est d’environ 3,9 m (contre 3,2 m pour la version SWB), permettant 4 ou 6 portes et une modularité intérieure supérieure.
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La “Grosser Mercedes” Inoubliable, Mythe de la Haute Diplomatie
La Mercedes-Benz 600 Pullman Limousine 1965 incarne à la fois l’audace technique et l’enracinement dans le luxe suprême dont la marque à l’étoile se fait le héraut. Héritière d’une tradition d’excellence depuis l’entre-deux-guerres, elle pousse encore plus loin le concept d’une automobile pouvant dépasser les contraintes de l’époque pour offrir un univers feutré et opulent à ses occupants. Son V8 M100 de 6,3 litres, conjugué à la direction assistée, la transmission automatique et la suspension pneumatique, illustre la modernité. Son habitacle aux dimensions généreuses, agrémenté de sièges réglables hydrauliquement, d’insonorisations poussées, et parfois de cloisons chauffeurs/passagers, promeut un confort alors sans pareil. Ces caractéristiques lui confèrent un rayonnement global, et la placent en choix de prédilection pour nombre de chefs d’État, diplomates, personnalités du show-biz ou fortunes privées, tous soucieux de projeter une image de puissance et de raffinement.
Au-delà de son usage protocolaire, la 600 Pullman brille par l’aura qu’elle dégage : rare, précieuse, dotée d’un système hydraulique complexe actionnant portières et vitres dans un silence étonnant. Les exécutions multiples (quatre portes, six portes, Landaulet, etc.) permettent de répondre à chaque besoin, qu’il s’agisse d’un cortège officiel ou d’un trajet privé. Le poids colossal du véhicule n’empêche pas des performances honorables, autorisant des croisières à 180-200 km/h sur autoroute, alors même qu’il peut transporter aisément plusieurs passagers et leurs bagages. C’est cette synthèse réussie entre innovation, habitabilité et noblesse de conception qui fait de la 600 Pullman un jalon incontournable de l’histoire automobile.
Aujourd’hui, chaque exemplaire préservé représente une pièce de collection extrêmement cotée. Les restaurations exigent un savoir-faire rare, notamment pour l’hydraulique, et peuvent s’étirer sur de longues années, tant il est difficile de trouver des pièces d’origine ou de reproduire le luxe artisanal de l’époque. Mais pour les passionnés, l’effort en vaut la peine : la 600 Pullman Limousine demeure une évocation directe du pouvoir et du prestige, non seulement par son apparence imposante, mais aussi par les personnages et régimes qui l’ont adoptée. Instrument d’apparat et de parade, la “Grosser Mercedes” de la période 1965 incarne la quintessence d’un savoir-faire automobile que la marque prolongera dans sa Classe S, tout en restant à part pour son exclusivité et son envergure historique. Reconnue mondialement, elle s’impose comme l’une des plus grandes légendes signées Mercedes-Benz, symbole durable de l’ère où l’automobile exprimait le rang social et la volonté de représentation au plus haut niveau.
Par Antonio Sanchez, pour Cravate Avenue.
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